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Жанна д'Арк
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330
Gasquet. 160. — «Ne parlez pas tous à la fois, beaux pères!». — Amiet. 79. — «…Faites l'un après l'autre…».
331
Procès. I. 74–75. — «Toutes les lumières ne viennent pas à vous, mon beau seigneur!».
332
Petit de Julleville. 124. — «Ne vous trompez plus comme cela, ou bien je vous tirerai les oreilles!».
333
Gasquet. 156. — «Passez outre!».
334
Gasquet. 152. — «Vous avez done vu le sang anglais se repandre?». — «En nom de Dieu! si je l'ai vu? Comme vous parlez doucement! Que ne partaient-ils de France et n'allaient-ils dans leur pays?». — «La brave fille! Que n'est-elle Anglaise!» — «Silence! Mais vous. avez-vous frappé?». — «Jamais! Je portais ma bannière…».
335
Petit de Julleville. 133. — «Pourquoi votre étendart fut-il porté au Sacre, plutôt que ceux des autres capitaines?». — «Il avait été à la pleine… il fut à l'honneur!».
336
Procès. 156 — «Je crois… ce que mes Voix m'ont dit que je serai sauvée, aussi fermement que si j'y fusse déjà (au Paradis)». — «…C'est là une répouse de grand poids». — «Qui, et c'est pour moi un grand trésor!».
337
Procès. I. 65. —Jean Beaupère: «savez-vous si vous êtes en grâce de Dieu?». — Amiet. 163. — «Taceatis in nomine diaboli!». — «Si je n'y suis pas, Dieu m'y mette, et si j'y suis, Dieu m'y garde. Je serais la plus dolente du monde, si je savais ne pas etre en grâce de Dieu».
338
Gasquet. 149. — «C'est le Matin qui se mêle de dicter les résponses de l'effrontée ribaude».
339
Duff et Hope. 235. — Guillaume Manchon: «à mon avis, il était impossible que, dans une cause aussi difficile, Jeanne suffit a se défendre elle même contre si grands docteurs, si habiles maitres, si elle n'eût été inspirée».
340
Petit de Julleville. 126–127. — «Pourquoi done aides-tu à cette méchante en lui faisant tant de signes? Par la morbleu, vilain, si j'aperçois plus que tu mettes peine de la deliver… je te ferai jeter en Seine!».
341
Procès. III. 138. — Jean Lohier. — Procès. II. 359. — «Nous assistâmes au proces, mais nous fûmes dans la pensée de fuir».
342
Gasquet. 155–156. «Que te semble, sera-t-elle arse?». — Massieu: «jusque ce jour, je n'ai vu que bien et honneur en elle, mais je ne sais quelle sera la fin». — «Prenez garde… qu'on ne vous envoie pas (à la Seine) boire de l'eau plus que de raison…».
343
Nicolas Eymeric. Directorium inquisitorum. Venetiis: Apud Marcum Antonium Zalterium, 1595. III. — Cautelae inquisitorum contra haereticorum cavilationes et fraudes.
344
Procès. II. 342; III. 140, 156, 160, 181. — Nicolas Loisoleur. — Amiet. 133.
345
Procès. III. 49. — Jean d'Estivet, promoteur: «putain, paillarde!.. c'est toi qui as mangé harengs et autres choses à toi contraires». — «Le roi ne veut pour rien au monde qu'elle meurt de mort naturelle… l'ayant chérement achetée».
346
Procès. I. 174–176 — «Je suis venue au roi de France, de par Dieu, de la Vierge Marie et de tous les benoîts Saints et Saintes du paradis et de l'Eglise victorieuse de lahaut. Et à cette Eglise-là je soumets… tout ce que j'ai fait ou à faire». — Hanotaux. 306. — «Si l'Eglise militante vous dit que vos révélations sont… choses diaboliques, vous en rapporterez-vous a l'Eglise?». — Procès. I. 178. — «J'aime mieux mourir que de révoquer ce que Notre-Seigneur m'a fait faire». — Hanotaux. 306. — «Ne vous croyez-vous donc pas soumise a l'Eglise… qui est sur la terre?». — «Oui, je me crois soumise, mais Dieu premier servi».
347
Amiet. 217. — «Elle sera prise… On l'aurat jusqu'à l'os!».
348
Procès. II. 350, 365; III. 51.
349
Procès. I. 36 — 378. — «Il me semble, vu la maladie que j'ai, que je suis en grand danjer de mort… Je vous requiers de me faire avoir confession et le Corps de mon Seigneur…». — «Si voulez avoir les Sacrements, vous devez vous soumettre à l'Eglise». — «Si mon corps meurt en prison, je m'attends à vous que vous le fassiez mettre en terre sainte; si vous ne l'y faites mettre, je m'en attends à Notre-Seigneur».
350
Procès. I. 384. — Amiet. 192.
351
Procès. I. 399–400. — «Vraiment, si vous me deviez arracher les membres et faire partir l'âme hors du corps, je ne dirais autre chose et, si je vous disais quelque chose, après dirais-je toujours que vous me l'avez fait dire par force». — Procès. I. 402–404. — «C'est un procès bien fait; la torture le gâterait». — France. II. 338. — «Donum taciturnitatis».
352
Procès. I. 414. — Jacques Paul Migne. Dictionnaire des sciences occultes. Paris: Chez l'èditeur, 1846–1852.
353
Michelet. 263. — «Dieu a toujours été… en ce que j'ai fait; le diable n'a jamais eu puissance en moi». — Procès. I. 154, 156. — «Les Voix me disent que je serai délivree par grande victoire. Et après, elles me disent: „prends tout en grè, ne te chaille de ton martyre; tu t'en viendras enfin dans le royaume de Paradis…“». — Amiet. 190. Procès. I. 441–442. — «Si je voyais allumer les bourrées… et moi étant dans le feu, je n'en dirais autre chose».
354
Ch. Lea. De origine Officii S. Inquisitionis. 457.
355
Procès. I. 409. — «Le Prince des Pasteurs accordera, certainement, à votre révérée sollicitude pastorale une couronne de gloire immarescible».
356
Procès. 21. — Jean Beaupère: «se vous êtes bonne chrétienne, vous direz que vous soumettez tous vos faits et dits à notre sainte mère l'Eglise et, specialement, aux juges écclésiastiques». — «Ainsi ferai-je!».
357
Procès. III. 146. — «Jeanne, croyez-moi, il ne tient qu'à vous d'être sauvée… Faites ce qu'on décidera… Il vous arrivera tout bien… Vous serez mise entre les mains de l'Eglise».
358
Procès. II. 351; I. 456–457; II. 15, 17, 335, 345, 353, 367. — Bourg-l'Abbé. Le cimitière Saint-Ouen. Guillaume Erard. — «Par ma foi, messire, reverance gardée, je vous ose dire… que c'est le plus noble de tous les chrétiens, et qui le mieux aime la foi et l'Eglise, et n'est point tel que vous le dites…». — Procès. I. 145. — «…Et s'il у a quelque faute, c'est à moi et non a autre.». — Procès. I. 444–446. — «Quant aux dits et faits que j'ai faits, je les ai faits de par Dieu».
359
Procès. I. 474–475. — «Nous, juges, ayant devant les yeux le Christ el l'honneur de la foi ortodoxe, afin que notre jugement émane de la face du Seigneur, nous disons et décretons que tu as été mensongère, inventrice de révélation et apparitions prétendues divines; séductrice pernicieuse, présemtueuse, témeraire… blasphematrice envers Dieu, les saints et les saintes; contemprice de Dieu même dans ses Sacrements, prévacatrice divine… séditieuse… engagée en mille erreurs…». Procès. III. 123. — Les Voix: «Jeanne, nous avons si grande pitié de vous! Il faut que vous révoquiez ce que vous avez dit ou que nous vous abandonnions… Jeanne, faites ce qu'on vous conseille. Voules-vous vous faire mourir?».
360
Procès. I. 473, note; III. 65; II. 323. — «Jeanne cria, es mains jointes, quelle voulait bien obéir a l'Eglise».
361
Procès. II. 137, 376, 356; III. 157, 178; II. 55.
362
Procès. III. 99, 147; II. 323, 331. — «Comprenez bienque si vous allez à l'encontre… de ces articles, vous serez brulée». — «Je veux que l'Eglise délibère sur les articles. Je m'en rapporte à l'Eglise Universelle, si je dois abjurer ou non…». — «Faites le maintenant, sinon vous serez brulée aujourd'hui même». — Gasquet. 189. — «Jeanne petit Jeanne, fais ce qu'on, te conseille… ne te laisse pas mourir… Jeanne, on t'aime!». — Procès. III. 157. — «J'aime mieux signer que d'être brulée…».
363
Procès. II. 388; III. 55, 147.
364
Procès. II. 338; III. 147. — «C'est une pure Irufferie! Jeanne n'a fait que se moquer…». — Procès. III. 156. — «Vous faites mal d'accepter une abjuration pareille, c'est une dérision». — Amiet. 209. — «Traîtres! Voleurs!». — Procès. II. 376 — «Le roi va mal, la fille ne sera brulée!». — «Messire, n'ayez cure, nous la rattraperons bien!». — Amiet. 217. — «Nous l'aurons jusqu'à l'os!».
365
Procès. II. 17; III. 164.
366
Gasquet. 190. — «Jeanne, vous avez fail une bonne journee, vous avez sauvé votre âme!».
367
Procès. I. 450, 452. — «…Puisque, Dieu aidant, elle revient au giron de la Sainte Eglise, que d'un coeur contrit elle abjure ses erreurs… et afin que notre jugement soit comme un rayon de la face de Dieu… nous la délious par les sanctions ecclesiastiques des liens de l'excommunication dans lesquels elle était enchâtée… Nous la condamnons finalement et déinitivement à la prison perpétuelle avec le pain de douleur et l'eau de l'angoisse…». — Amiet. 332. — «Ad perpetuam carcerem muri… in pane doloris et aqua tribulationis».
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